Sur la plage d'or, où le sable s'étire,
Une femme élégante, en robe d'empire.
Son chapeau dansant, au rythme de la mer, Une symphonie légère, un doux éclair.
Coquillages parsemés, bijoux éphémères,
Le rivage embrasse des secrets à taire.
Elle façonne des châteaux de sable,
Sous le regard des enfants qui s'émerveillent.
Les pâtés modelés, œuvres d'innocence,
Sous le soleil, éclats de bienveillance.
La mer chante sa ballade infinie,
Un lagon d'amour, une mélodie.
Le ciel peint en bleu, miroir des yeux,
La femme contemple, rêves joyeux.
Yeux bleus reflétant l'infini de la mer, Dans leur éclat, l'été prend ses quartiers.
Ensemble, ils tissent une toile d'azur,
La plage devient un lieu de murmures.
Femme, chapeau, coquillages, enfants rieurs, Un poème vivant, plage enchanteresse en couleurs.
